Les doigts ficelés à des fardeaux Rongés et crevassés par la sécheresse Tes yeux fixées sur les rideaux S'éteignent lentement le long de ton ivresse Ce roulis hypnotiques ép anche sur les cheveux de ta princesse Cet te barque de fortune ne demande qu à s'échouer Violemment sans crainte de sa vouer Un jour naufragée Elle differe de cette haine avilissante Qui sou lève les jupons deces ptit es poupées Elle attis etes obsessions branlantes Tut images des desseins aux bords cornés frêle Érectile Lancinante Attendrissante Noyé au creux de cette vague d'errance Paumé au milieu de tes rêves d'enfance Lové an créà ce port d'attache Encré lové comme un vieux lâche Pour le mieux Mal heureux L'as de tirer Sur cette Vieille chaînes