Enfant du vide, il est l'heure
De faire tomber le nihilisme
Du haut de son trône de vainqueur
De ne plus en être le prisme
Tu es liberté dans ton cœur,
Parfois, c'est vrai, un pue le vice
Voilà pourquoi les gens ont peur,
Car de l'humain, ils sont les fils
Albatros planant dans les nuages,
Traité de fou et mis en cage,
Combien de larmes pour leurs erreurs,
Combien de rires à leurs malheurs
Faut bousculer le temps du plein,
Faut rejeter les anti-rides
Sortir les gens de leurs écrins,
Faut se lever, enfant du vide
Enfant du vide, je te connais,
Aux éduquants épris du rire
À qui tu tendais ton carnet,
À qui tu crachais ton sourire,
À ces blessés qui se croyaient pleins
Et qui n'étaient qu'avides
À ces fous qui se croyaient pleins
Tu n'étais qu'un enfant du vide
Je sais, mes mots ne changeront rien
Quand la solitude te guide
Vers des tableaux parisiens
Je sais le goût du souvenir
Quand l'injustice semble si grande,
Qu'elle passe quand même inaperçue
Quand on se dit qu'il fut se rendre,
Quand on se laisse pour vaincus
N'abandonne pas, je t'en supplie,
Ton âme à ces faussaires de rien
Le monde est mort à ceux qui plient,
Et il nous faut construire demain
Enfant du vide, il est l'heure
De faire tomber le nihilisme
Du haut de son trône de vainqueur
De ne plus en être le prisme
Tu es liberté dans ton cœur,
Parfois, c'est vrai, un pue le vice
Voilà pourquoi les gens ont peur,
Car de l'humain, ils sont les fils
Albatros planant dans les nuages,
Traité de fou et mis en cage,
Combien de larmes pour leurs erreurs,
Combien de rires à leurs malheurs
Faut bousculer le temps du plein,
Faut rejeter les anti-rides
Sortir les gens de leurs écrins,
Faut se lever, enfant du vide
Enfant du vide, je te connais,
Aux éduquants épris du rire
À qui tu tendais ton carnet,
À qui tu crachais ton sourire.
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