Des jours sous l'écume à froisser le bitume À chercher le phare ou des choses à faire Même s'il est déjà tard pour sortir de l'enfer Des fenêtres closes de ceux qui prennent des doses Des rafales d'échymoses, la vie s'ankylose Paralyse l'horizon et t'enlève la raison Y a plus rien d'rose, juste un tas choses qui causent la merde Font que t'oses plus mettre sur pause Mais cette nuit tu te sens plus grand Bien sûr d'avoir choisi ton camp Sur des charbons ardents, des corps dissidents Enfreignant la loi, déteignent sur toi Et tu sens l'adrénaline Sur des charbons ardents, des corps turbulents Levant la voix, déteignent sur toi Et tu sens monter l'adrénaline Le chant des sirènes t'enivre et t'appelle On prêche à ta place pour la tour de Babel Allez goinfre-toi, vas-y mange, sur le dos des autres Et fais des exploits toujours dans la faute Mais sache qu'un jour de choc bien pâle on paye tout Le lâche rembourse ses dettes jusqu'au dernier sou Pense à deux fois avant de sauter Y aura personne là-haut pour te rattraper Mais cette nuit tu te sens plus grand Bien sûr d'avoir choisi ton camp Sur des charbons ardents, des corps dissidents Enfreignant la loi, déteignent sur toi Et tu sens l'adrénaline Sur des charbons ardents, des corps turbulents Levant la voix, déteignent sur toi Et tu sens monter l'adrénaline Au milieu des tiens ta confiance accroît Plus vivant tu deviens, tu trouves ton sang froid Sur des charbons ardents, des corps dissidents Enfreignant la loi, déteignent sur toi Et tu sens l'adrénaline Sur des charbons ardents, des corps turbulents Levant la voix, déteignent sur toi Et tu sens monter l'adrénaline Ils déteignent sur toi Ils déteignent sur toi Ils déteignent sur toi Ils déteignent sur toi