Je les vois qui dessinent Dans leur chute, des rondes invisibles Devant moi, elles s'empilent Quand elles tombent, mes pieds sont la cible Plus la chute est lente et plus lutte est belle Voir danser les feuilles chaque fois me rappelle Que je ne serai plus jamais la même Quand arrive novembre Je ne cesse d'entendre Je ne cesse d'entendre Théo Porté par le vent, ton nom me hante Théo Tu voulais en découdre, dénuder un à un les fils Libérer ton coeur lourd Théo Théo Théo J'ai la voix qui déraille Mais je me dis ton âme est invincible La plus belle des batailles Mais on perd toujours contre le vide Plus la lutte est longue plus l'adieu fait mal Tes yeux dans les miens quand tu mettais les voiles Non, je ne pourrais plus jamais t'attendre Quand arrive novembre Je sens mon cœur se fendre Je sens mon cœur se fendre Théo Porté par le vent, ton nom me hante Théo Tu voulais en découdre, dénuder un à un les fils Libérer ton coeur lourd Théo Théo Théo Théo t'es où Théo, oh Théo t'es où Théo, oh-oh Théo t'es où Théo, oh Théo t'es où Théo, oh-oh Théo t'es où Théo, oh-oh Théo t'es où Théo, oh-oh Théo t'es où Théo, oh Théo t'es où Théo, oh-oh