Tout c'qu'on n'dit pas Lorsqu'on dépeint et déploie Nos débuts, nos signes non-assumés Nos premiers pas fascinés On efface de surcroît Les creux, les ombres et les froids On joue à je-ne-sais-quoi Jusqu'à c'que tombe l'éclat Et tour à tour On essaie de faire comme si On touchait l'infini On se pense, on se déduit Lorsqu'arrive la nuit On concède nos phobies Nos déluges d'ennui On valse devant la pluie Et la mélancolie Tout c'qu'on n'vit pas Pour que nos cœurs, nos ébats Ne connaissent aucune autre issue Que de se voir invaincus On ne laisse aucun droit Aux creux, aux ombres et aux froids On s'acquitte chaque fois Dès que l'on comble les draps Et tour à tour On essaie de faire comme si On touchait l'infini On se pense, on se déduit Lorsqu'arrive la nuit On concède nos phobies Nos déluges d'ennui On valse devant la pluie Et la mélancolie On rejoue chaques instants Qui nous mènent jusqu'ici Au présent On déjoue les tournants Qu'on nous amène depuis Simplement Et tour à tour On essaie de faire comme si On touchait l'infini On se pense, on se déduit Lorsqu'arrive la nuit On concède nos phobies Nos déluges d'ennui On valse devant la pluie Et la mélancolie On essaie de faire comme si On touchait l'infini On valse devant la pluie Et la mélancolie On rejoue chaques instants Qui nous mènent jusqu'ici Au présent On déjoue les tournants Qu'on nous amène depuis Simplement