La pierre vide qui rougeoie dans le matin Le ciel écume qui renaît soudain Ces moteurs qui s'éveillent au souffle de ta vie C'est la rumeur de ton été sans fin Ton enfant qui rythme le temps de ses pieds nus Sourit au soleil d'un air ingénu Portant en lui le testament de la tristesse Comme une vierge, un enfant pieds nus La nuit ton corps harassé et à moitié nu Plonge dans l'eau de l'amour éperdu Un garçon brun qui te sourit et qui t'enlace Semblant tu m'aimeras jusqu'au matin La nuit ton corps harassé et à moitié nu Plonge dans l'eau de l'amour éperdu Un garçon brun qui te sourit et qui t'enlace Semblant tu m'aimeras jusqu'au matin Jusqu'au matin Jusqu'au matin Ouiii