Quand la nuit Au harpon Traque ces lumières Sans fond S'en remettre Au clocher A la chaleur Du ciel Comparable à celle de Pompéi Qui vit naître Ce long désert de cendres Que l'on (?) laissé Passé, le fleuve Longé, les canyons Passé, le fleuve Gagné, les moteurs Quand la nuit Au harpon Traque son gibier Sanglots De sang froid Redonnait sa peau A la chaux des murs blancs Comme au lointain Mexique Éveillé Aux mélopées sauvages Comme pour atteindre Les haubans célestes Passé, le fleuve Tombé, les hauteurs Passé, le fleuve Gagné, les montagnes Quand la nuit Au harpon Traque ses lumières Sans fond S'en remettre Au clocher Au vertige de l'oiseau Le plongeon est aisé De chair et d'os Ou bien d'eau Peu importe la vie Pourvue qu'elle soit douce Passé, le fleuve Largué, les moteurs Passé, le fleuve Tombé, les montagnes D'un pas léger Longé, les épreuves D'un pas léger Devenir Géant Passé, le fleuve Gardera nos pas