Sous les ventilateurs, je m'allonge à longueur De journées alanguies que les jardins parfument Et sous la véranda, tous les jours à cinq heures Ainsi je languis dans un allant de soi Saoulée par la chaleur qui s'étend comme une flamme Je m'enfonce telle une lame dans l'arrière des coupés Et puis je sors des vagues à l'âme et sans secousses Je m'étends, allant sur du sable allégé Mon rêve à moi Y a des jours où je le touche du doigt Mon rêve à moi Il m'échappe à chaque fois Mon rêve à moi Tellement habile du bout des doigts Mon rêve à moi Il m'échappe à chaque fois Fermer mon compte à la City Briser le flot de cette hyper-activity Ici, ma vie est à moi Pas de low-fidelity Et je donnerai à mon île le nom de Liberty Ici ma vie est à moi Sous les ventilateurs, je m'allonge à longueur De journées alanguies que les jardins parfument Et sous la véranda, tous les jours à cinq heures Ainsi je languis dans un allant de soi Il n'y a pas âme qui vive, même pas le vendredi Et je compte les étoiles, je les vois toutes ici ♪ Mon rêve à moi Y a des jours où je le touche du doigt Mon rêve à moi Il m'échappe à chaque fois Mon rêve à moi Tellement habile du bout des doigts Mon rêve à moi Il m'échappe à chaque fois Fermer mon compte à la City Briser le flot de cette hyper-activity Ici, ma vie est à moi Pas de low-fidelity Et je donnerai à mon île le nom de Liberty Ici ma vie est à moi Mon rêve à moi Y a des jours où je le touche du doigt Mon rêve à moi Il m'échappe à chaque fois Mon rêve à moi Tellement habile du bout des doigts Mon rêve à moi Il m'échappe à chaque fois