(Ce que je dis là n'a rien à voir avec toi.
Au fond, c'est juste un jeu de mots
Griffonné dans mon mémo.
Ce que je dis là n'a rien à voir avec toi.
Au fond, c'est juste un jeu de mots
De plus, de trop.)
Ta voix suave s'étale sur moi,
Comme le son des claves que l'on cogne sur le bois.
Ta voix douce caresse ma peau,
Comme de la mousse qu'on a laissé au fond du pot.
Ta voix cristalline me déshabille, me dévêtit,
Comme une pluie fine, qui coule sans bruit.
Ta voix dense réveille mes mains,
Comme un long silence, que l'on brise au petit matin.
Ta voix chaude rassure mes cris,
Quand mes démons rodent dans le couloir de mes nuits.
Ta voix sage parfume mes hanches,
Comme un coquillage égaré dans une avalanche.
Ta voix bohémienne, bohème et mienne, belle et sensuelle, belle et cruelle me donne des ailes.
Ta voix basse pénètre mes sens,
Comme de la craie sur les pages d'un bouquin d'enfance.
Ailleurs... (Non tu ne devrais pas...)
Je m'évade quand tu prononces en cœur, tes doux murmures. (Tu vas le regretter... Souviens-toi la dernière fois...)
Des mots d'Amour, des mots de tous les jours. (Tu n'l'as pas supporté.)
Ailleurs... (Tu pleurais dans mes bras.)
Il y'a mon souffle, tes lèvres, mon cœur, et ta chaleur. (Tu m'as dis plus jamais.)
Ailleurs, il y'a ta voix: sensuelle, féline, coquine. (Non, non, non, non.)
Ta voix lisse pollue mes colères,
Quand je te veux fier et que tu rampes à mon service.
Ta voix molle hérisse ma chair,
Quand en plein envol, je te veux dur comme de la pierre.
Ta voix raisonnable, au petit jour, mon tendre Amour, mon tendre chat, te rend détestable.
Ta voix frêle fronce mes sourcils,
Quand tes mots sont miel et que je les voulait hostiles.
Ailleurs... (Non, tu ne devrais pas.)
Je m'évade quand tu prononces en cœur, tes doux murmures. (Tu vas le regretter. Souviens-toi la dernière fois...)
Des mots d'Amour, des mots de tous les jours. (Tu ne l'as pas supporté.)
Ailleurs... (Tu pleurais dans mes bras.)
Il y'a mon souffle, tes lèvres, mon cœur, et ta chaleur. (Tu m'as dis plus jamais.)
Ailleurs, il y'a ta voix:
Sensuelle, féline, coquine. (Non, non, non, non.)
Ta voix fine et longue se faufile, le long de mes trammes, au creux du canon de mes larmes.
Ta voix grande et belle me demande d'aimer cette histoire que le jour pose sur nos mémoires.
Ta voix délicate sonne le la de mes cantates, de tes sonates lorsque je touche le sol.
Ta voix lente épelle mon nom pour que chaque lettre sonne au son de tout ton être.
Ailleurs... (Non, tu ne devrais pas...)
Je m'évade quand tu prononces en cœur, tes doux murmures. (Tu vas le regretter. Souviens-toi la dernière fois...)
Des mots d'Amour, des mots de tous les jours. (Tu n'l'as pas supporté.)
Ailleurs... (Tu pleurais dans mes bras.)
Il y'a mon souffle, tes lèvres, mon cœur, et ta chaleur. (Tu m'as dis plus jamais.)
Ailleurs, il y'a ta voix. (Non, non, non.)
(Ta voix lisse pollue mes colères.
Ta voix molle hérisse ma chaire.
Ta voix raisonnable te rend détestable.
Ta voix frêle fronce mes sourcils.
Ta fine et longue se faufile.
Ta voix grande et belle me demande.
Ta voix délicate sonne le la.
Ta voix lente épelle mon nom.)