Y'en a qui prient tout bas, qui n'ont connu que des guerres, des soldats. Y'a plus qu'des ruines, des flammes Et des enfants qu'on dresse avec des armes. Y'a tous ces noirs qu'on bat qui meurent sans liberté, sans droit ni loi. C'est le pouvoir des "rois" qui ferme les portes à Winnie Mandela. Y'a ces arènes du mal qui chantent les traces d'une douleur qui s'acharne Sur des rizières de larmes, le corps d'un homme qui fuyait le brouillard Et y'a tous ceux qui aiment, qui voudraient que ça cesse. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour soulever des frontières et des ponts. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour violer des terres, des passions. Y'a des bons mais y'a tous ces fanas du shoot. Y'a tous ces mômes qui ont faim, qu'on sacrifie aux luttes sans lendemain Le désespoir des femmes, des soldats rouges qui ont aussi peu d'âme. Ces religions sans fin ont fait de tous leurs hommes des assassins. Y'en a qui crient "Pourquoi?" à tant de haine, à tant de désarroi. Y'en a qui s'perdent aussi, pour sauver d'autres vies. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour soulever des frontières et des ponts. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour violer des terres, des passions. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour soulever des frontières et des ponts. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour violer des terres, des passions. Y'a des bons mais, y'a des bons mais, y'a des bons mais. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour soulever des frontières et des ponts. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour violer des terres, des passions. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour soulever des frontières et des ponts. Y'a des bons mais y'a toujours des cons Pour violer des terres, des passions.