(Thinkin' alright man)
T'sais qu'on a commencé la vie avec des grammes
Portionnaire dans les poches
Pas l'son des rageux et envieux
Ceux d'en bas veulent que j'loupe le coche
Cœur sombre en manque de courant
Mes veines ont besoin de coup de cross
Ce soir, je me sens comme un lundi
J'vais marcher loin les mains dans les poches (poches)
Social, je fumais devant les gens
Être légèrement plus intelligent
Parler du plan, c'est pas le bon moment
J'le dis seulement, j'arrive calmement
Tu cherches, c'est qui, c'est les 2005 qui ont cassé ta portière
J'ai choisi d'être devant l'Antipode qu'être menotté sur la banquette
Et c'est la vie, malheureusement les vrais sont peu
Et tu sais pas les millions d'idées que j'ai par cent pas
J'compte sur mes doigts, les soutiens depuis toujours dehors
Va-t'en, si tu penses que j'arriverai à rien sans toi
J'cours après le temps dans la ville, souvent solitaire
L'indispensable n'existe pas, ouais, sans eux c'est la même
Cet hiver, je suis loin, j'réponds pas, je suis navré
Non, cellulaire qui sonne, ouais, c'est mon répondeur
Il pleut, donc je broie du noir à la recherche des étoiles
Cœur mouillé sur le trajet, je n'ai pas esquivé les flaques, non
Poser sur de l'herbe en mode avion, j'écris des phrases
Je m'en irai vers sept heures, avant que le jour se lève (ah-ah-ah)
Les faux amis, je jette dans la benne
Les moutons n'ont rien à faire dans la jungle
Les petits ont volé un Clio deux
Pourtant, la moitié ne sont pas majeures
Je rentre à la maison, toujours la même
Hall du bâtiment sans cigarette
Je vois gyrophares par la fenêtre
J'referme les rideaux, j'vais m'allonger
J'ferme les yeux, j'vais dans mes rêves
J'en ai trop marre des gens
Sur l'oreiller, mon casque à fond
Loin des embrouilles dehors
Et comme je taf, ils ont changé
Ils veulent me voir comme eux
Bientôt, on passera le step, ils seront loin de moi
Et c'est la vie, malheureusement les vrais sont peu (les vrais sont peu)
Et tu sais pas les millions d'idées que j'ai par cent pas
Je compte sur mes doigts, les soutiens depuis toujours dehors
Va-t'en, si tu penses que j'arriverai à rien sans toi
J'cours après le temps dans la ville, souvent solitaire
L'indispensable n'existe pas, ouais, sans eux c'est la même
Cet hiver, je suis loin, j'réponds pas, je suis navré
Non, cellulaire qui sonne, ouais, c'est mon répondeur
Il pleut, donc je broie du noir à la recherche des étoiles
Cœur mouillé sur le trajet, j'n'ai pas esquivé les flaques, non
Poser sur de l'herbe en mode avion, j'écris des phrases
Je m'en irai vers sept heures, avant que le jour se lève
(Ah-ah-ah, ah-ah)
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