Je m'assois au milieu du silence Une fois de plus j'ai tout quitté Et je me rends à l'évidence Ici tout est fait pour passer... La vie pourrait être si belle... J'accepte ia douleur des hommes Les bras qui se tendent vers le ciel Rien ne m'agace ni ne m'étonne Combien d'histoires m'ont sculptée? Combien de mains m'ont touchée? Même la nudité des murs A quelque chose qui me rassure Un vide qui ne fait jamais mal Mais qui grandit et puis s'installe Combien d'histoires m'ont scuitpée? Combien de mains m'ont touchée? J'accepte et j'ouvre les mains, Je laisse tous les sentiments Me traverser et ne faire qu'un C'est simple comme un jeu d'enfant Combien d'histoires m'ont sculptée? Combien de mains m'ont touchée? Je suppose que j'attends encore... la passerelle