Je suis un Bonobo, shooté a la papouille.
Viens-la ma Bonobone, viens-la que je t'épouille.
Grand homo erectus.
Et petit Bonobo.
D'après les papyrus.
Sont de beaux saligauds.
Le zozo, le gugus.
Les deux alter ego.
Assaillent leur Vénus.
Comme on boit au goulot.
Les deux vieux frangibus.
En bonne paire de frolots.
Pratiquent les mêmes us.
Popotin rotoplot.
Je suis un Bonobo, shooté a la papouille.
Viens-là ma Bonobone, viens-la que je t'épouille.
Je t'attrape, tu me chopes, je t'effleure, tu me touches.
Je te mange, tu me lapes, on se tutoie la bouche.
Bourre pifs a la Cassius.
Claques a tire-larigot.
Sont absents du laius.
En pays Bonobo.
Coquin cunnilingus.
En lieu d'
Aikido.
S'affiche comme un plus.
En colonne de totaux.
De derrière le plexus.
Faire vibrer le cardio.
C'est la toute l'astuce.
Du cousin Bonobo.
Je suis un Bonobo shooté a la papouille.
Viens la ma Bonobone viens la que je t'épouille.
Je t'attrape, tu me chopes, je t'efflure, tu me touches.
Je te mange, tu me lapes, on se tutoie la bouche.
Mais l'homo erectus.
Diffère du Bonobo.
L'enragé mordicus.
Veut jouer du biscoto.
Fielleux olibrius.
Il bataille ses égaux.
Et quand sonne l'
Angélus.
Tout est redevenu beau.
Le sapiens en gibus.
Peut brandir ses drapeaux.
Moi je reste un minus.
Je suis Bonobo.
Je suis un Bonobo shooté a la papouille.
Viens la ma Bonobone, viens la que je t'épouille.
Je t'attrape, tu me chopes, je t'efflure, tu me touches.
Je te mange, tu le lapes, on se tutoie la bouche.
Je suis un Bonobo.
Je suis un Bonobo.
Viens la que je t'épouille.