Ton nom ouvre les frontières plus à l'ouest Les prisons Ton front défie la rancœur la tristesse À l'horizon Poussé par le vent de la bonté Drapé dans ton sang de liberté Rien ne t'appartient et tu appartiens à ce à quoi jamais on appartient Rien tu le sais bien ne le détient ton secret Puisqu'à la fin on appartient on appartient Jamais jamais ô jamais Jamais jamais ô jamais Tes seins gardent les étoiles les déesses les vibrations Tes mains caressent la force et la faiblesse à l'unisson Au galop tu poursuis l'obscurité Guidé par l'esprit d'immensité Rien ne t'appartient et tu appartiens à ce à quoi jamais on appartient Rien tu le sais bien ne le détient ton secret Puisqu'à la fin on appartient on appartient Rien ne t'appartient et tu appartiens à ce à quoi jamais on appartient Rien tu le sais bien ne le détient ton secret Puisqu'à la fin on appartient on appartient Jamais jamais ô jamais Jamais jamais ô jamais