Eh (ouais, ouais, ouais) Okay (ouais) Ah Toujours impliqué Toujours une Lyca, un briquet Toujours un truc à imbriquer Ton visage, mon cœur l'a imprimé Mais tes paroles, j'ai dû les supprimer J'étais moche dans le noir, éclairé par mon joint Les flashs des appareils m'ont sublimé J'ai su rimer avant d'faire mes lacets J'ai su t'aimer avant d'voir ton passé Et la nuit, dans mon lit, j'me retourne Pour éviter que les jnouns me regardent J'ai crée des liens, j'ai semé du bien Tout ça, c'est fragile comme un château de cartes On s'écarte d'un problème en s'rapprochant d'un autre Voilà à quoi se résument nos journées Dix ans plus tard, personne n'a bougé Pour nous, la roue, elle a jamais tourné Le regard détourné de mes obligations C'est comme ça la vie, y a des complications Mauvais garçon, froid comme un glaçon Comme le bout du canon caché dans l'caleçon Mon fils fera des liassons autrement qu'son papa J'te jure que les miens sont capables S'il m'ramène un business rentable et légal Il pourra jeter son cartable Ils veulent pas la paix, on leur fera la guerre Ton père sur l'canapé qui s'khabat à la bière J'ai toujours rappé, toujours porté ma paire J'trouverai la clé ou le truc qui va plaire Encore des choses à dire (ah) Encore des choses à dire (ouais, ouais) Alors écoute (écoute) J'sais pas si j'peux porter le poids du récit Isolé j'vais mourir, tout près du récif Y a que moi qui sais que j'suis un peu dépressif J'suis peu expressif, t'façon j'ressens rien d'précis Que des éclats de sentiments Qui s'envolent aussi vite qu'ils sont arrivés Vous avez raté votre vie, laissez-moi rêver (putain d'merde) Vriller, c'est rapide J'ai gobé vos cachets, toutes vos thérapies J'me posais à côté d'la fenêtre, j'écoutais la pluie Quand tellement sur mon cœur, elle appuie Elle comprend pas pourquoi j'suis bre-som Pourquoi en pleine nuit j'ai quitté la maison J'essaie d'lui expliquer que j'ai plus la raison Le cœur noir, c'est pas que dans mes sons (c'est pas que dans mes sons) Ils ont créé un monstre, c'est tout comme Ils m'ont créé un monde de souffrance Ils ont caché la clé dans la réalité Mais ils peuvent se la foutre là où j'pense Personne va m'enfermer, je m'évade en écrivant Au fond mon esprit, lui, n'est pas cloisonné Le vent m'emporte Devant ma porte La Faucheuse dépose Une rose empoisonnée T'as l'même regard que lorsque j'te décevais Meubler ton silence pour tenter d'les sauver J'ai arrêté d'aimer, tenté d'me sevrer Toute façon personne ne voyait qu'je souffrais (nan) Mon ciel est sombre J'leur ai montré que j'avais raison Ma douleur danse avec les ombres Chanter c'était la voix d'la guérison J'regarde la lune quand mon cœur brûle Une fumée épaisse qui surgit sur le torse J'ai mis du temps à m'accepter comme je suis Ensuite mes faiblesses sont devenues mes forces On m'disait "y a pire que toi" (y a pire que toi) Mais y a toujours pire que soi Mes paroles sont dures, je sais Mais mon cœur sait dire que ça Les mensonges m'ont éprouvé J'ai brûlé la fin du livre Maintenant j'sais où j'vais J'ai marqué horizon au singulier Les mensonges m'ont éprouvé J'ai brûlé la fin du livre Maintenant j'sais où j'vais J'ai marqué horizon au singulier