Le temps c'est pas de l'argent, cette connerie nous affaiblit Ton temps, c'est ta durée de vie et Dieu nous a fait libres Tout va trop vite là où la mort se profile Où Babylone prend la tête avec ses histoires de profits Où les cœurs sont trop vides, il y pousse des crocs frère La haine est trop vive et les médias considérés comme prophètes À vouloir trop faire, on a zappé l'essentiel Des mensonges, on nous a offert et devine qui s'en sert? Là où ça prie la conjoncture, où ça vénère l'économie Où il y a peu d'êtres humains parmi les êtres économiques Où ça construit sa propre prison par sécurité Camarade, ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur, peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils voudraient nous éduquer, eux qui manquent de sagesse Eux qui sans intérêt, ne savent pas faire un geste Ils nous parlent de respect mais ils flinguent notre Terre Disent se battent pour la paix et pour ça font la guerre Camarade, combats le doute car ils aimeraient te corrompre Te barrer la route ou te convaincre qu'elle est trop longue N'écoute que ton intuition, suis-là par tous les temps Marche avec la foi, c'est la chance que tu fréquentes Ils nous enseignent la peur pour que l'on reste entre leurs clôtures Faisons briller nos différences car leur ciel est obscur Suis ta route, chacun à la sienne Méfie toi des temps modernes qui fabriquent les êtres humains à la chaîne Aimeraient nous foutre des puces dans la chair, frotter la marque au karcher Créatures d'argiles, corrompues pour pas cher Dites aux enfants du système qu'ils sont enfants de la terre Et que les enfants de la rage ne sont pas enfants de la guerre Camarade Ils ont peur de rêver Ils ont peur de penser Ils ont peur du changement Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la différence Ils ont peur de leur prochain Ils ont peur de la chance Du bonheur et du lendemain Ils sont effrayés, ils aimeraient t'effrayer Avec leurs craintes et leurs phobies, reste maître de tes pensées Ils sont sclérosés et ils ont baissé les bras Faisons sauter les murs de ces prisons cérébrales Camarade Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur, peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur, peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Ils ont peur de la liberté Camarade, fils du vent, fils de l'horizon Vas où ton cœur te porte et la vie te donnera raison Le chemin est long et d'embûches sera plein Ouvre toi au monde et le monde sera tiens La connaissance c'est la force et la vie Il faut connaitre le passé pour comprendre le présent et deviner l'avenir Savoir lire entre les lignes, librement t'amène À être maître de ta vie si tu sais penser par toi-même N'oublie pas, en ton âme cette flamme allumée N'oublie pas, l'enfant en toi et les rêves qui l'animait N'oublie pas, en ton âme cette flamme allumée N'oublie pas (ils ont peur de la liberté, ils ont peur de la libertés) La beauté de la vie dépend de ton regard Même si pour la paix ce monde est en retard (ils ont peur de la libertés) Nous nourrit de cette envie de tirer dans le tas Pour que nos rêves finissent mutilés dans le drame (ils ont peur de la libertés) La beauté de la vie dépend de ton regard Même si pour la paix ce monde est en retard (ils ont peur de la libertés) Nous nourrit de cette envie de tirer dans le tas Mais la beauté de la vie dépend de ton regard (ils ont peur de la libertés) Camarade, méfie toi le temps voudrait te corrompre Car c'est dur d'être incompris parmi les prétentieux Parmi ceux qu'ont oublié qu'on était rien d'autre Que de simples terriens, tous égaux devant Dieu Camarade, vas où ton cœur te porte, camarade La vérité que tu portes en toi vaut bien plus que toutes celles établies Alors vas où ton cœur te porte, camarade