Passer les hivers à broyer du noir Et d'autres couleurs, ça, fallait me voir Écumer les nuits, les jours, la tournée des anges en fer Comme ivre, sourde, ça, fallait s'y faire Tellement de temps Tant de néant Je n'savais rien avant Il n'y a rien que je sache mieux Que le goût, que le goût de ta peau Il n'y a rien que je fasse mieux Que t'aimer, que de t'aimer de trop Il n'y a rien que je pleure mieux Que l'absence, que l'absence de tes mots Il n'y a rien que je fasse mieux Que t'aimer, que t'aimer, que t'aimer de trop Au coin d'autres lèvres et de cœurs trop froids J'ai chopé la crève, oh combien de fois J'ai souvent senti l'emprise d'amours délétères Comme un vertige, tomber en arrière Tellement de temps Tant de néant Je n'savais rien avant Il n'y a rien que je sache mieux Que le goût, que le goût de ta peau Il n'y a rien que je fasse mieux Que t'aimer, que de t'aimer de trop Il n'y a rien que je pleure mieux Que l'absence, que l'absence de tes mots Il n'y a rien que je fasse mieux Que t'aimer, que t'aimer, que t'aimer de trop ♪ Il n'y a rien que je sache mieux Que le goût, que le goût de ta peau Il n'y a rien que je fasse mieux Que t'aimer, que de t'aimer de trop Il n'y a rien que je pleure mieux Que l'absence, que l'absence de tes mots Il n'y a rien que je fasse mieux Que t'aimer, que t'aimer, que t'aimer de trop