Longues, toutes ces heures à ne rien faire On comble comme on peut l'ennuie de nos cités sombres Là où rien ne se passe on se raconte des choses qu'on invente ♪ Longues sont les heures quand autour tout se meurt alors on se raconte Ces histoires qui font peur et qui Sortent de nulle part mais qui comptent Car elles crèvent pour une heure nos Ennuies et nous laisse dans l'attente Qu'un jour il nous arrive quelque chose Et parfois ça se propage en un éclair Ça amuse comme ça fait peur Nul ne sait s'il faut y croire Mais la légende urbaine traîne Elle court de comptoirs en trottoirs Et s'invite entre nos murs Les grands rient, les petits ont peur Quand la légende urbaine traîne ♪ La légende urbaine traîne ♪ La légende urbaine traîne On s'est passé le mot sans savoir si ça vaut quelque chose On s'en moque ces histoires c'est Des portes dans le noir qu'on enfonce Pourvu qu'elles nous éclairent et pimentent le décors on s'en fout On les raconte partout Et ça y est ça se propage en un éclair Ça amuse comme ça fait peur Nul ne sait s'il faut y croire Mais la légende urbaine traîne Elle court de comptoirs en trottoirs Et s'invite entre nos murs Les grands rient, les petits ont peur Quand la légende urbaine traîne La légende urbaine traîne La légende urbaine traîne La légende urbaine traîne La légende urbaine traîne