Je t'envoie une bulle d'oxygène,
Pour qu'elle vienne alléger ta peine,
Que des fleures naissent,
Tout autour de toi.
Je t'envoie des monts et des plaines,
Je t'inventerais des tagues et des poèmes,
Pour que tu me retrouves,
Où que tu sois.
Le monde sera vert,
Crois moi,
Pour ombre sur la Terre,
Toi et moi.
Je t'envoie une bulle d'oxygène,
Pour que la nature fasse un peu des siennes,
De la forêt poussent sous les grands boulevards.
Oh débranches toi, car je t'enmène,
Au delà des villes sur mon éolienne,
Loin de tout ces murs qui nous séparent.
Le monde sera vert,
Crois moi,
Pour ombre sur la Terre,
Toi et moi.
Puis viennent les vents qui se déchaînent,
Et font tout volés en éclats,
La terre et tout ce que l'on aime,
Main dans main tout changera.
Le monde sera vert,
Crois moi,
Pour ombre sur la Terre,
Toi et moi.
Et j'y crois encore où je n'y crois pas,
Et j'y crois encore où je n'y crois pas,
Et j'y crois encore où je n'y crois pas,
Et j'y crois encore où je n'y crois pas,
Et j'y crois encore où je n'y crois pas,
Et j'y crois encore où je n'y crois pas.
Assis sur un coin de ciel,
Je t'envoie une bulle d'oxygène,
Pour que tu me retrouves,
Où que tu sois.
Le monde sera vert,
Crois moi,
Pour ombre sur la Terre,
Toi et moi.
Le monde sera vert,
Crois moi,
Pour ombre sur la Terre,
Toi et moi.