Voluptyk Check, uh One shot, check, uh Le ciel sur l'emblème de ma maison, on dissèque, on mesure la fracture La famille, la devise, le blason, on inquiète, on rassure, on facture Triste comme un verset corinthien, comme un million de morts indiens Rien ne dépassera le solstice, on maçonne, on construit, on maintient Sous la luna, le sol est rougi, toute la loge est remplie de bougies Mais quelque chose est vivant sous la neige, les deux Testaments n'ont pas tout dit Et j'ai des regrets vieux comme dix Babel, d'autres de la taille de Michael À la faveur de l'obscurité, quelques-uns m'ont trahi mais pas elle Parlons-en entre ceux qui vivent cette vie comme un siècle de disette De ce qui est bon sur les arbres, Matthieu, chapitre 7, verset 17 J'y pense sous les hauteurs de Gizeh, le front est posé sous le plateau Ne vous en déplaise mais mon Seigneur n'a que faire de titres et de châteaux Dis-leur que j'ai tout manigancé, mes plans sont noircis comme la vertu Le tout fait des ronds dans mes pensées, coincé dans la salle des pas-perdus C'est dur comme un gosse qu'on a vu partir, c'est mille coups de couteau dans mille artères Ce soir, Père Castor raconte une histoire qui pourrait faire pleurer un milliardaire Mon premier n'est ni contre ni pour, mon second n'attendra pas Kippour Mon troisième a l'regard illuminé, mon todos n'a jamais revu l'jour Et mi casa, c'est pas tu casa, j'me rappelle quand j'montais le Barça De quand ils ont vu Fianso partout, quand ils ont crié "tout mais pas ça"