L'air est toujours plus pur S'il est d'ailleurs L'éternelle blessure des voyageurs Sauter toutes les clôtures D'autres équateurs On veut des vies d'aventures, de rêves et d'erreurs On est tous les mêmes On cherche ailleurs ceux qu'on aime On cout et on peine Toujours plus loin On est tous les mêmes On ne voit pas ceux qui nous aiment Ceux qui nous ramènent Quand tout s'éteint Au petit matin Tous les bleus sont azurs loin de nos demeures Personne ne nous capture en apesanteur Dans nos rêves bien sûr, on est vainqueur On oublie ceux qui rassurent quand on prend peur On est tous les mêmes On cherche ailleurs ceux qu'on aime On court et on peine Toujours plus loin On est tous les mêmes On ne voit pas ceux qui nous aiment Ceux qui nous ramènent Quand tout s'éteint Au petit matin Ce vent qui souffle si fort dans notre dos Qui veut nous vendre à prix d'or les reflets de l'eau Il a fait perdre le nord à d'autre bateaux Qui à l'abri dans le port, avaient tout ce qu'il faut On est tous les mêmes On cherche ailleurs ceux qu'on aime On est tous les mêmes On ne voit pas ceux qui nous aiment Ceux qui nous ramènent Tous ceux qui nous ramènent Tous ceux qui nous aiment Quand tout s'éteint, au petit matin On est tous les mêmes On cherche ailleurs ceux qu'on aime On court et on peine Toujours plus loin On est tous les mêmes On ne voit pas ceux qui nous aiment Ceux qui nous ramènent Quand on sait bien On est tous les mêmes On cherche ailleurs ceux qu'on aime On court et on peine Là bas, plus loin On est tous les mêmes On ne voit pas ceux qui nous aiment Ceux qui nous retiennent Jusqu'à demain