L'œil scrute la rapace Et le vorace est en chasse Il observe sans relâche il tourne et tournoie L'aigle pousse son cri et fond sur sa proie Dans le chant entêtant du souffle du vent Je l'entends à l'instant tout en vous écrivant Dans le chant entêtant du souffle du vent Je l'entends à l'instant je l'entends tout le temps Écoute le roulis de la mer Il étouffe tous les autres sons Malgré cette oscillation les nuits sont calmes Sur le pont du bateau nous chaussons nos palmes La plante grimpe jusqu'au toit Elle recouvre la maison remplit chaque pièce C'est le lierre qui gagne toujours à la fin La demeure s'écroule respirez ce parfum