Toi qui ne poses que des coeurs Sur la vitre que tu aimes embuer Et moi qui les efface de peur De les sentir battre sans l'avoir demandé Je sais les mots que j'ignore Et que je ne dis pas d'ordinaire Mais je connais les décors Qui peuvent déjà nous plaire La chaleur de Séville Les plages de Saint Malo Les gondoles à Venise Les pieds au bord de l'eau Et à l'aube de la nuit, t'avouer alors Je t'a Toi qui ce jour de février Ne demandes rien qu'un peu de poésie Quand moi la tête encore en janvier Je traîne un peu à te parler d'aujourd'hui Je sais les mots que j'ignore Et que je n'ose pas dire d'ordinaire Mais si tu lisais mon corps Tu les verrais en chair La chaleur de Séville Les plages de Saint Malo Les gondoles à Venise Les pieds au bord de l'eau Et à l'aube de la nuit, t'avouer alors Je t'a Tu regrettes mon vocabulaire Je le vois, je le vois J'aimerais tant voir le monde à ta manière Mais je ne sais pas, je ne sais pas Les jardins de Paris Retour à Saint Malo La beauté de nos nuits Quand me viendront ces mots Que j'oserai te dire sans le moindre effort Je t'a La chaleur de Séville Les plages de Saint Malo Les gondoles à Venise Les pieds au bord de l'eau A l'aurore de ma vie, t'avouer sans gêne que je t'