Au temps du pensionnat, Des sanglots pleins d'algèbres Mais au bout des corridors brillait un univers Les écolières dont je me remémore, aimaient la colle autant que moi Et les classes enfin finis fumaient en bande Sans qu'on les voit Dans les ruines monotones Rodent des lycéennes hilares et belles après l'école Là où je m'abime l'herbe à rouillée ma bécane Ici je fossilise sous les averses du mois de mars Bientôt momie Feu jeune génie des motards Plus qu'un engrais sans regret, aucun Dans les ruines monotones Rodent les lycéennes hilares et belles après l'école Restez majorettes Vos secrets me consolent Pour vous j'ai refusé le ciel Et un voyage en météore Alors piétinez, piétinez, piétinez là encore! Dans les ruines monotones Rodent des lycéennes hilares et belles après l'école Dans les ruines monotones Rodent des lycéennes hilares et belles après l'école