(Oh, ton œil de tempête) (Et l'onde et l'onde et l'onde que tu grondes juste pour nous attirer) (Oh, ton œil de tempête) (Et l'onde et l'onde et l'onde que tu grondes juste pour feinter d'exister) Dehors le marasme, faut dégriser Après les contes de fées, les histoires de toi-même qui regarde l'autre, qui regarde toi Tes états d'âme et tes idées sont tellement sombres qu'on veut y croire Qu'on voudrait tester les limites de notre pitié Comme si tu parlais dans ton dos Comme si cherchais à rester persécuté, à vouloir un bourreau Oh, ton œil de tempête Et l'onde et l'onde et l'onde que tu grondes juste pour nous attirer Oh, ton œil de tempête Et l'onde et l'onde et l'onde que tu grondes juste pour feinter d'exister Dehors ton malheur imaginé T'as écouté le son de ta complainte, t'as aimé à t'en rouler dedans Accroc aux regards de tes abonnées Tu t'effeuilles comme un livre ouvert Sans la pudeur et sans la gêne et sans fierté T'es resté pris dans tes quartiers T'es resté piégé dans ta spirale romancée Tes murs de lamentations Oh, ton œil de tempête Et l'onde et l'onde et l'onde que tu grondes juste pour nous attirer Oh, ton œil de tempête Et l'onde et l'onde et l'onde que tu grondes juste pour feinter d'exister Dehors le marasme, faut dégriser Après les contes de fées, les histoires de toi-même, tes histoires, tes histoires