Le Soleil saigne Il pleut du feu. Le ciel tournoyant Colporte les infames libertes. Devoyer les symboles de la vie, Sublimant sa forme Sous les lumieres lansinantes Dominantes et alienantes. Les yeux brulent dans la nuit. D'un appel incompris C'est l'esprit qui se nuit En gehenne sans l'habit Les yeux brulent dans la nuit. C'est l'extase qui s'en suit Dans l'ineffable repli Seduit par le potentiel infini Ainsi parle l'astre gris Qui dans sa voute de tromperies Emporte l'etre terni Qui de l'ombre et lumiere est l'oubli.